La classe 4H du lycée-collège des Creusets (Sion) a commencé la traduction du livre du Père Rougier « Los Caminos del Reencuentro »

La classe 4H du lycée-collège des Creusets (Sion) a commencé la traduction du livre du Père Rougier « Los Caminos del Reencuentro »

 

Il y a deux semaines, le professeur Fidel Fernandez et sa classe d’espagnol du lycée-collège de Sion ont commencé la traduction du livre du Père Rougier « Los Caminos del Reencuentro » (« Les premiers pas vers les retrouvailles »). Les élèves ont été répartis par groupes de quatre et chaque groupe a reçu une partie du livre à traduire de l’espagnol en français sous la supervision du professeur. Christophe Carron, venu présenter l’auteur du livre et le contexte de l’émigration valaisanne en Argentine, a pu constater avec quelle motivation et quel plaisir la classe travaille. Rappelons que ce livre raconte comment dans les années 1970, après des décennies de silence et d’oubli, le Père Rougier a initié, avec les frères Gabriel et Alexandre Carron, les premières démarches qui vont conduire les descendants de Valaisans d’Argentine et leurs cousins du Valais à renouer des contacts et à se retrouver. Le travail de traduction se poursuivra durant toute l’année scolaire 2016-2017.

Christophe Carron avec une élève qui tient dans ses mains le livre du Père Rougier.
Christophe Carron avec une élève qui tient dans ses mains le livre du Père Rougier.

 

Le professeur Fidel Fernandez supervise la traduction de ses élèves.
Le professeur Fidel Fernandez supervise la traduction de ses élèves.

 

 

Septembre 2016 : visite à Esperanza de l’ambassadeur suisse en Argentine, Hanspeter Mock

Septembre 2016 : visite à Esperanza de l’ambassadeur suisse en Argentine, Hanspeter Mock

Analih Donnet est argentine. C’est une descendante d’émigré valaisan qui habite aujourd’hui à Esperanza, première colonie agricole fondée en partie des Hauts- et Bas-Valaisans en 1856. En 2012, le jumelage de sa ville avec six communes valaisannes (Vex, Hérémence, Saint-Martin, Trient, Riddes et Champéry), sous l’égide de Valaisans du Monde, lui a procuré une immense satisfaction. Aujourd’hui, elle aimerait que les contacts et les échanges se développent beaucoup plus entre les communes jumelées, elle serait ravie que l’esprit de fraternité qui prévaut dans ces jumelages se concrétise davantage par des voyages, des rencontres, des contacts réguliers. Esperanza, dit-elle, se réjouit d’accueillir chaleureusement les présidents des six communes valaisannes concernées.

Le 23 septembre 2016, l’ambassadeur de Suisse en Argentine est venu visiter la commune d’Esperanza. A cette occasion, Analih Donnet a rédigé un bref compte-rendu que nous proposons ci-dessous aux visiteurs du site de Valaisans du Monde.

« Realmente estoy sorprendido. Cuando uno va a conocer un lugar tiene expectativas, que pueden resultar  negativas o positivas. Pero al llegar a Esperanza, me admiré. Saber que el 52% de los fundadores de esta ciudad son suizos y verla, me hace sentir orgullo. Sin dudas, Esperanza es un orgullo para Suiza » dijo el Embajador suizo en la Argentina, Hanspeter Mock, ante la consulta de El Colono del Oeste en el marco de la conferencia de prensa realizada en la sede de la Asociación Suiza.

La recepción fue en la tarde de ayer en la sede de la Asociación Suiza Guillermo Tell, a cargo de Luis Megevand, presidente de la entidad esperancina, el contador Hugo Donnet y demás representantes de entidades suizas y valesanas de la región y del país. Tras conocer  el Chalet de la Asociación Suiza Guillermo Tell, patrimonio histórico de la ciudad de Esperanza y de complacerse  con los automóviles antiguos en exposición al frente del mismo, el Embajador se hizo presente en el Palacio Gris para entrevistarse con la intendente Ana María Meiners.

Hanspeter Mock en la sede de la Asociación Suiza Guillermo Tell manifestó que « veo una comunidad suiza activa, que tiene numerosas actividades, que maneja con criterio sus recursos económicos, con participación en la comunidad a partir de diferentes actividades. Realmente estoy muy contento de ver la tarea que cumplen en la comunidad ».

Sobre las hermandades de Esperanza con seis comunidades de Suiza instó a « activarlas, sostenerlas, porque hay algunas que son papeles firmados muertos y olvidados y otras que son de un rico intercambio, deportivo, cultural, de aportes mutuos ».

Si bien mostró que las becas para estudiar en Suiza son manejadas por los cantones y que son limitadas, « Argentina tiene un alto nivel en ellas, por la calidad de sus investigadores ».

Acerca del intercambio económico recordó que « Suiza es el sexto inversor en la Argentina », especialmente en  farmacología y alimentos y animó a « sostener un intercambio más intenso que beneficie a los dos países ».

Esta mañana, en el marco de Fecol, el Embajador Suizo mantuvo una reunión con empresarios de Esperanza y la región en la sede del CICAE.  A las 11 presidía el acto de inauguración del Espacio de Hermanamiento de Esperanza con las comunas de Chámpery, Riddes, Trient, Hérémence, Saint-Martin y Vex, en plaza San Martín y visitará a Fecol por la tarde.

Analih Donnet, Esperanza

L’ambassadeur suisse en Argentine, Peter Mock (au centre), s’adresse au public présent au chalet Guillaume Tell d’Esperanza lors d’une visite à nos cousins d’Argentine.
L’ambassadeur suisse en Argentine, Peter Mock (au centre), s’adresse au public présent au chalet Guillaume Tell d’Esperanza lors d’une visite à nos cousins d’Argentine.

 

Visite en Valais de nos cousins sud-américains Agostinho Sauthier et Dario Favre

Visite en Valais de nos cousins sud-américains Agostinho Sauthier et Dario Favre

26 août 2016 : Rencontre à Fully avec deux cousins d’Amérique du Sud : Agostinho Sauthier, descendant de Joseph-Antoine Sauthier de Charrat émigré dans le Rio Grande do Sul en 1875, et Dario Favre, descendant de Jean-Pierre Favre de Sembrancher émigré en 1860 à San José en Argentine.

Cette rencontre a été l’occasion de visiter chez lui Alexandre Carron, puis de partager un pique-nique convivial sur une terrasse de Fully.

Nouvelles de la traduction du livre du Père Rougier

Nouvelles de la traduction du livre du Père Rougier

Le Père Rougier, prêtre argentin aujourd’hui âgé de 88 ans, est à l’origine des premiers contacts rétablis entre les Valaisans et leurs cousins de l’Entre Rios. Il a écrit il y a quelques années un livre (« Los Caminos del Reencuentro ») qui évoque principalement  ses premiers voyages en Valais pour retrouver les familles de ses paroissiens de Villa Elisa et de la région. Avec l’aide du père Gabriel carron, prêtre à Santa Fe, et d’Alexandre carron, passionné par l’histoire de l’émigration valaisanne, il a, en 1971, parcouru les villages valaisans, multiplié les rencontres, établis des liens et ramené en Argentine une somme de documents et d’informations. Grâce à lui, l’impulsion des retrouvailles a été donnée et la grande rencontre de 1991 a pu avoir lieu. En lisant le livre du Père Rougier, on comprend mieux comment le mouvement des retrouvailles a commencé…

Quand le livre a été publié en espagnol, Valaisans du Monde, convaincu de la valeur de cet ouvrage, a décidé d’encourager sa traduction. Divers obstacles ont retardé cette traduction. Celle-ci a cependant été relancée lors de l’assemblée générale de Valaisans du Monde au mois de mai 2016, grâce à la proposition du professeur d’espagnol Fidel Fernandez de réaliser ce travail avec une de ses classes du collège des Creusets (Sion).

Durant cet été, nous avons travaillé sur ce livre et nous avons pensé proposer une centaine de pages à traduire, de même que quelques compléments.

En août 2016, Fidel Fernandez a reçu les indications nécessaires pour commencer la traduction dès le début de cette année scolaire.

Le contact avec Fidel est très bon; il est membre de Valaisans du Monde, il connaît le Père Rougier et l’Argentine pour avoir réalisé, avec une collègue et amie de Colon, Olguita Bonvin, un échange de leurs classes en 2010 et 2011 et par la suite des échanges d’élèves. Olguita Bonvin est proche du Père Rougier, c’est par son intermédiaire que nous échangeons des messages avec le prêtre argentin enthousiasmé par cette entreprise.

Christophe et Alexandre Carron

Celia Vernaz, descendante de pionniers Valaisans, honorée à San José (Argentine) pour son œuvre d’historienne de l’immigration

Celia Vernaz, descendante de pionniers Valaisans, honorée à San José (Argentine) pour son œuvre d’historienne de l’immigration

Le 2 juillet 1857, le petit Casimir Delaloye (4 ans) descendit de la goélette partie de Buenos Aires quelques jours plus tôt pour remonter le fleuve Uruguay, et, le premier parmi ses compatriotes valaisans, posa le pied sur la terre qui deviendra peu après la colonie San José.

Exactement 159 ans plus tard, le 2 juillet 2016, la commémoration de cet événement a été célébrée à San José d’une manière toute spéciale.

En effet, des représentants de la Chambre des députés de la Nation se sont rendus dans cette colonie argentine pour honorer l’une de ses personnalités les plus marquantes. Il s’agit de Celia Vernaz, descendante d’émigrés valaisans de la première heure, distinguée pour son œuvre d’historienne de la colonisation. Celia a publié plus de trente livres qui évoquent l’arrivée, l’installation et la destinée des immigrants valaisans, savoyards et piémontais fondateurs de San José et des colonies avoisinantes, Colon et Villa Elisa entre autres. Celia a été durant des décennies une chercheuse fervente dont les œuvres sont reconnues aujourd’hui sur les plans national et international. C’est cette œuvre remarquable qui a valu à Celia Vernaz la distinction décernée par la Chambre des Députés de la Nation.

Cet honneur est pour nous un plaisir d’autant plus grand que Celia est une amie de longue date et que ses livres nous ont beaucoup inspirés dans l’écriture des chapitres sur San José et sa région dans le tome 1 de nos livres « Nos Cousins d’Amérique ».

Alexandre et Christophe Carron

Image Article 5

 

Novembre 2015 : 140e anniversaire de l’émigration valaisanne au Rio Grande do Sul

Novembre 2015 : 140e anniversaire de l’émigration valaisanne au Rio Grande do Sul

En novembre dernier, nous étions 4 Valaisannes à prendre part aux diverses manifestations commémorant le 140e anniversaire de l’émigration valaisanne dans l’Etat du Rio Grande do Sul, qui, comme son nom l’indique, se trouve au sud du Brésil. J’avais la lourde tâche, mais surtout le grand honneur et le grand bonheur d’y représenter Valaisans du Monde.

Après un accueil chaleureux à Porto Alegre, capitale de l’Etat, et deux jours de visite de cette belle ville, nous nous sommes rendues à Caxias do Sul, pour le début des manifestations. L’ouverture officielle a eu lieu le jeudi soir 12 novembre à la Casa das Etnias, maison offerte par la ville de Caxias aux communautés valaisannes, italiennes, allemandes et polonaises de cette région. De nombreux panneaux et photos illustrant l’histoire de l’émigration valaisanne, ainsi que le développement rural et citadin de la région étaient présentés. Avec M. Ivo Sartor, président de l’AVB, Association Valaisanne du Brésil, nous avons lu, à 2 voix et en 2 langues,  la lettre de félicitations que M. Eric Rudaz, président de VDM, avait fait parvenir à cette occasion, ainsi que le mot de salutations de M. Roland Gay-Crosier, ancien président de VDM ; ces textes ont été traduits en portugais par Mme Angela Da Silva Ribeiro, collaboratrice de VDM au Brésil depuis les Retrouvailles de 1991.

Panneaux sur l’histoire générale de l’émigration, exposés à la Casa das Etnias de Caxias do Sul
Panneaux sur l’histoire générale de l’émigration, exposés à la Casa das Etnias de Caxias do Sul
Ivo Sartor et Aliette Giroud lisent à 2 voix et en 2 langues la lettre de salutations de Valaisans du Monde.
Ivo Sartor et Aliette Giroud lisent à 2 voix et en 2 langues la lettre de salutations de Valaisans du Monde.

Le lendemain, par temps pluvieux, hélas ! après une visite très intéressante au Musée des Immigrants de Caxias do Sùl où nous avons chanté Sentiers Valaisans, en compagnie de nombreuses personnes cousines et amies, nous sommes allées à l’UCS, l’université de la ville, où une vitrine entière était consacrée à l’immigration valaisanne, plus principalement aux familles de Charrat, Saxon, Vouvry et Martigny. Divers panneaux représentaient ces familles, Sauthier de Charrat, Denicol, Bruchez, Gedoz et Sauthier de Saxon, Dupont et Pignat de Vouvry, Guex-Crosier de Martigny. Divers objets ramenés par ces émigrants étaient exposés dans cette vitrine.

Université de Caxias do Sul : vitrine consacrée au 140e anniversaire de l’émigration valaisanne
Université de Caxias do Sul : vitrine consacrée au 140e anniversaire de l’émigration valaisanne

Samedi 14 novembre, dans une salle du Collegio Santa Rosa de la ville de Carlos Barbosa, s’est tenu un séminaire sur l’histoire de cette émigration, sur les familles, leurs origines diverses, les endroits où ils ont vécu à leur arrivée, leurs divers mariages entre communautés immigrées, leurs implantations actuelles et leurs nombreuses descendances dans toutes les villes et villages du Rio Grande do Sul, de Santa Catarina et du Paranà. Cette conférence a été organisée et menée de main de maître par M. Adonis V. Fauth, auteur de plusieurs livres sur l’histoire de l’émigration au Brésil.

Dimanche matin 15 novembre, sur la place Clemente Sauthier de Carlos Barbosa, devant le monument Les Voiles de l’Espoir et par un soleil rayonnant, a eu lieu la cérémonie officielle de cette fête du 140e anniversaire de l’émigration valaisanne au Rio Grande do Sul. La plaque commémorative de cet événement a été inaugurée, en présence d’une foule nombreuse, par MM Claudio Leoncavallo, consul général de Suisse à Sao Paulo, Gernot Haeberlin, consul honoraire de Suisse à Porto Alegre, M. Gilberto Francisco Baldasso, représentant du gouverneur de l’Etat du Rio Grande do Sul, MM Fernando Xavier da Silva, maire de Carlos Barbosa et Ivo Sartor, président de l’AVB.

Inauguration de la plaque commémorative des 140 ans de l’émigration valaisanne. De gauche à droite : Ivo Sartor (président AVB), Claudio Leoncavallo (consul général de Suisse), Fernando Xavier da Silva (maire de Carlos Barbosa) et Gilberto Baldasso (représentant du gouverneur de l’Etat du Rio Grande do Sul)
Inauguration de la plaque commémorative des 140 ans de l’émigration valaisanne. De gauche à droite : Ivo Sartor (président AVB), Claudio Leoncavallo (consul général de Suisse), Fernando Xavier da Silva (maire de Carlos Barbosa) et Gilberto Baldasso (représentant du gouverneur de l’Etat du Rio Grande do Sul)

Je me dois ici de témoigner de l’importance de ces moments pour mes cousins et amis brésiliens, qui sont si heureux et fiers de leur appartenance à notre pays et à notre canton. C’est pour eux une grande émotion et surtout une grande reconnaissance de trouver leurs racines et renouer les liens qu’ils ont cru perdus durant de nombreuses années jusqu’aux Retrouvailles de 1991, où tellement de familles se sont mutuellement découvertes et retrouvées avec bonheur.

Aliette Giroud

Etats-Unis, Missouri : Venue en Valais de Richard Borage, descendant des Mottier Roduit de Fully

Etats-Unis, Missouri : Venue en Valais de Richard Borage, descendant des Mottier Roduit de Fully

Louis Charles Mottier, son épouse Marie Rosalie Roduit et leurs 5 enfants émigrent de Fully en 1893, pour s’installer dans l’Etat du Missouri aux Etats-Unis. Ils s’établissent dans une ferme à Rolla (St. James). Trois des filles de Louis et Marie Rosalie trouvent du travail à Saint-Louis, capitale de l’Etat, dont Léontine Marie qui épouse Joseph Rard, fils de Léopold, émigré de Saxon. Le couple fonde une famille à Saint-Louis où vit aujourd’hui encore une partie de ses descendants. Richard Borage fait partie de ces descendants. L’histoire de sa famille et de ses origines valaisannes le passionnent au point qu’il leur a consacré quelques écrits.

Du 14 au 18 juin 2016, il sera en valais, chez sa cousine de Fully Josiane Roduit. On le voit sur la photo ci-dessous à côté de sa petite-fille Lydia Ward, récemment graduée. Richard Borage a fêté ses 82 ans le 26 mai 2016.

Image Chronique 1 Article 3

(Christophe Carron, mai 2016)

Le Père Juan Esteban Rougier fête ses 88 ans à Colon en Argentine.

Le Père Juan Esteban Rougier fête ses 88 ans à Colon en Argentine.

 

Le Père Juan Esteban Rougier est un pionnier des retrouvailles.

Dans les années 1970, avec Alexandre Carron, il a lancé les recherches pour retrouver en Valais, dans le Piémont et en Savoie, les origines de ses paroissiens de Villa Elisa (ville proche de San José et Colon). Il a en outre été un collaborateur fidèle et apprécié de Valaisans du Monde, notamment pour préparer les retrouvailles de 1991 et durant les années qui ont suivi.

Il vient de publier un livre intitulé « Los Caminos del Reencuentro » (« Les Chemins des Retrouvailles ») que Valaisans du Monde projette de traduire en français. Cette oeuvre est passionnante pour les Valaisans, car elle propose un regard différent de ceux que nous trouvons dans nos livres et nos archives : le regard d’un descendant d’émigré valaisan, qui vit en Argentine, sur l’aventure vécue par nos ancêtres partis coloniser les pampas de l’Entre Rios.

IMG_9497

Une partie du livre retrace les étapes qui ont conduit, à partir de 1972, après des décennies d’oubli, aux retrouvailles entre les Valaisans et leurs cousins d’Argentine.

Ci-dessous, on voit le père Rougier lors de la présentation de son livre à Villa Elisa. Il vient de fêter ses 88 ans à Colon où il habite actuellement.

PADRE JUAN ESTEBAN ROUGIER

 

Joyeux anniversaire, Padre Rougier!

 

(Christophe Carron, mai 2016)

Nos cousins du Brésil : Finhaut : l’exposition « Geneviève, d’une Terre à l’autre… » prolongée jusqu’au 28 août 2016

Nos cousins du Brésil : Finhaut : l’exposition « Geneviève, d’une Terre à l’autre… » prolongée jusqu’au 28 août 2016

Geneviève Lugon Moulin est une veuve courageuse qui a choisi l’aventure de l’émigration en 1819. Avec ses 5 enfants, elle a quitté son village de Finhaut et s’est embarquée pour le Brésil, bien décidée à forcer le destin sur cette terre lointaine. Sa descendance là-bas est nombreuse, et après de longues années d’oubli, les cousins d’ici et de là-bas se sont retrouvés, et aujourd’hui entretiennent des relations très fortes. L’exposition organisée à Finhaut raconte, à travers des documents et des photographies, l’histoire de cette émigration et de ces retrouvailles étonnantes.

On peut visiter cette exposition à la galerie Victoria à Finhaut, et compléter la visite en parcourant les rues du village où des photos « Regards » ont été réparties ici et là.

 

Horaires des visites :

Jeudi et vendredi de 15h à 18h, samedi et dimanche de 14h à 18h.
A partir du lundi 27 juin jusqu’au dimanche 28 août 2016 :
Mercredi, jeudi et vendredi de 15h à 18h, samedi et dimanche de 14h à 18h.


Visites sur demande: +41 (0)79 885 45 66
Et pour en savoir plus : www.expogenevieve.ch, www.facebook.com/expositiongenevieve 

genevievea52infosite2016

(Mai 2016)