Etats-Unis : une femme hors du commun : Gaddis Gay, descendante d’émigrés valaisans

Etats-Unis : une femme hors du commun : Gaddis Gay, descendante d’émigrés valaisans

 

Etonnant destin que celui de Gaddis Gay, descendante de Valaisans ayant quitté la terre natale au XIXe sècle avec l’espoir d’une vie meilleure dans le Nouveau Monde.

C’est en effet en 1882 qu’Eugène Gay de Charrat, son épouse Justine Ançay de Fully et leurs 3 enfants s’installent près de St. James dans le comté de Phelps (Missouri). Ils vivent dans une petite ferme en bois où naissent 5 autres enfants. Leur travail comme paysans et leur sens des économies leur permettent après quelques années d’acheter 32 hectares de terre et d’y construire une grande maison de 6 pièces et une grange qui existe encore aujourd’hui telle qu’autrefois.

Gaddis Gay, née en 1956 à Houston, est la fille de Dorothée Gay et arrière-petite-fille d’Eugène et Justine Gay Ançay. Avec son mari Lee Warren, son meilleur supporter dit-elle, elle vit à Austin (Texas) où elle mène aujourd’hui encore une vie active. Après avoir travaillé dans les relations publiques puis le marketing dans diverses sociétés, elle fonde à Austin, en 1989, sa propre entreprise de publicité qu’elle nomme T3. Ses activités prennent rapidement de l’ampleur et incluent la gestion des banques de données et la conception de publicités pour la télévision. La qualité et les compétences de T3 lui valent des clients aussi importants que Dell Computer, la chaîne d’hôtels Hyatt, Blockbuster Video, 7-Eleven, Pizza Hut, les chemins de fer du Texas, etc. En outre, Gaddis Gay collabore aux deux magazines économiques américains de réputation mondiale Forbes et Fortune.

En 2005, Gaddis Gay est nommée par le magazine Fast Company parmi les 25 meilleures femmes entrepreneures du Texas et classée parmi les 10 meilleures entrepreneurs de l’année par le Inc. Magazine. En 2014, elle est élue présidente du Comité des 200 femmes cadres et entrepreneures les plus prospères du monde.

En 2018, elle publie « Cowgirl Power », un livre très remarqué dans lequel elle conseille les femmes désireuses de faire carrière, elle relève leur pouvoir et la manière de l’exploiter dans le monde des affaires. Elle donne des conférences, encourage l’esprit d’entreprise des femmes, anime à titre bénévole diverses œuvres d’entraide sociale. Gaddis Gay est célèbre également pour sa peinture qu’elle expose dans les meilleures galeries du pays.

Figure éminente du monde des affaires et de l’art aux Etats-Unis, Gaddis Gay n’a jamais oublié cependant ses origines valaisannes. En 1999, elle a effectué un voyage en Valais et n’a pas caché son émotion en visitant à Charrat et Fully les lieux où habitaient ses ancêtres Eugène Gay et Justine Ançay. Le destin de cette femme étonnante ? Un conte de fée moderne.

Alexandre et Christophe Carron

 

Eugène Gay, Justine Ançay et leurs enfants au début du XXe siècle à Rolla (Missouri).
Gaddis Gay, descendante d’Eugène Gay et Justine Ançay, à l’entrée de l’entreprise de marketing T3 qu’elle a fondée à Austin (Texas) et qu’elle dirige.
La bandera argentina fue proyectada en los alpes suizos como señal de “esperanza y solidaridad” frente a la pandemia del coronavirus

La bandera argentina fue proyectada en los alpes suizos como señal de “esperanza y solidaridad” frente a la pandemia del coronavirus

Las autoridades de la ciudad de Zermatt, Suiza, decidieron proyectar la bandera de la Argentina en el pico del monte Matterhorn, en los alpes, como un mensaje de unidad y solidaridad en el medio de la pandemia de coronavirus que mantiene en vilo al mundo.

Todas las noches, el punto más alto de la montaña se ilumina con los colores de la bandera de un país, siempre en una señal de fraternidad. Anoche le tocó el turno a Argentina, donde el coronavirus ha dejado hasta el momento 152 víctimas y un total de 3.144 contagiados.

La imagen de la bandera argentina fue compartida en las redes sociales por la Embajada de Suiza en Buenos Aires y por el embajador Heinrich Schellenberg. “El artista Gerry Hofstetter ilumina el Matterhorn, la montaña más famosa de los Alpes y símbolo emblemático, como señal de esperanza y solidaridad con Argentina en el marco de la pandemia”, escribió.

La embajada citó las palabras de las autoridades de la ciudad desde donde se proyectó la bandera. “Muchos suizos emigraron a la Argentina en el siglo XIX y aún conservan fuertes lazos con su antigua patria. Pensamos en la población argentina en estos tiempos sin precedentes”, expresaron en Zermatt.

El artista Gerry Hofstetter lleva adelante diferentes proyecciones en edificios públicos, monumentos o paisajes. Algunas de las fotos que aparecen en su cuenta de Instagram muestran los trabajos que realizó. Entre ellos se destacan la proyección de la bandera de Italia en el Coliseo, dos ciervos en el Palacio Real de Oslo, en Noruega o el hundimiento del Titanic en un iceberg gigante ubicado en el mar Polar del Norte.

La cumbre de la montaña Matterhorn tiene casi 4.500 metros, se asemeja a una enorme pirámide y su silueta está representada en el envase del famoso chocolate Toblerone.

“La idea es hacer algo agradable para la gente de todo el mundo”, explicó a la agencia de noticias AFP el director de la oficina de Turismo de Zermatt, Daniel Luggen. “El Cervino – como también se conoce a la montaña- es un símbolo importante para Suiza y, cuando lo iluminamos así, estamos convencidos de que da esperanza a la gente”, agregó.

Esta cumbre es uno de los grandes desafíos del alpinismo, sobre todo por su cara norte, y atrae cada año a miles de escaladores. Este año, debido al avance del coronavirus, no hubo actividad.

“La luz es esperanza. Así que, si se hace un mensaje con luz en una situación como la que estamos viviendo, se da esperanza”, precisó Hofstetter en una entrevista con la misma agencia de noticias.

El artista destacó que “el Cervino estuvo aquí antes de que existiera la humanidad » y que “en la historia, cuando había enfermedades, el arte reunía a la gente para encontrar un futuro mejor”. Luego, agregó: “Sólo el arte puede hacer eso”.

 

 

https://www.infobae.com/sociedad/2020/04/22/la-bandera-argentina-fue-proyectada-en-los-alpes-suizos-como-senal-de-esperanza-y-solidaridad-frente-a-la-pandemia-del-coronavirus/

 

Lette à Alexandre Carron, par Gabriel Bender

Lette à Alexandre Carron, par Gabriel Bender

Lettre à Alexandre Carron

Dans l’émission Porte-Plume de la Radio Télévision Suisse (RTS), la journaliste Manuela Maury invite des personnalités de notre pays à s’adresser à nos aînés confinés dans des EMS (Etablissements Médicaux-Sociaux), pour manifester leur soutien en cette période difficile. Le jeudi 9 avril, c’est la lettre du sociologue et écrivain Gabriel Bender de Fully à Alexandre Carron, 91 ans, pensionnaire au foyer Fleur de Vigne à Leytron, qui a été lue par le comédien Roland Vouilloz. Cette lettre, que nous reproduisons ici, évoque aussi le prêtre valaisan Gabriel Carron, frère d’Alexandre, dont l’apostolat s’est déroulé en Argentine auprès des pauvres et des prisonniers, et dont les œuvres se poursuivent aujourd’hui grâce à diverses associations.

 

 

Cher Alexandre,

Je me suis mis en tête de composer cette lettre sur une machine à écrire, à l’ancienne. J’en ai trouvé une samedi sur internet, des gens d’Oron qui déménageaient en Valais. Le lundi, elle était chez moi, mais le ruban était sec comme une feuille de châtaignier à la porte de l’hiver ; il est parti en poussière.

La marque le la machine ? Corona. Ça ne s’invente pas. Comme nous sommes tous plus ou moins confinés, on doit s’évader par le rêve, la lecture, ou en brassant des souvenirs. J’ai retrouvé dans ma bibliothèque « Nos cousins d’Amérique », que tu as signé en 1986 avec ton neveu Christophe Carron.

A l’époque à la radio, on avait dit que tu étais écrivain, chercheur, généalogiste, savant, historien, agriculteur et aventurier, ou quelque chose comme ça. S’ils ne l’ont pas dit, c’est une erreur. Ton livre est à l’origine des retrouvailles entre le Valais et ses émigrants. C’est ton frère Gabriel, curé en Argentine, qui t’avait mis sur la piste. Peu à peu, ta maison est devenue le consulat des Argentins qui cherchaient des contacts avec leurs cousins valaisans et vice versa. Là-bas, ton frère s’engage auprès des plus pauvres, visite les détenus du diocèse de Santa Fe, devient responsable national de la pastorale des prisons, et puis sillonne le continent en tant que délégué des prisons de l’Amérique latine et des Caraïbes. Il est partisan de la théologie de la libération, une église qui dénonce les injustices sociales. Il ouvre sa maison aux plus pauvres. J’y suis allé plusieurs fois, et je me suis rendu compte que beaucoup de gens sur place considèrent le père Gabriel comme un saint homme.

Il y a 5 ou 6 ans, un Argentin de Santa Fe est passé chez moi. Il voulait rencontrer le pape à Rome, avec une valise de documents sur le père Gabriel. Je lui ai dit : « Prends aussi un Gamay et un Fendant de Fully, et explique qu’il vient d’une famille de vignerons, ça peut améliorer le dossier de canonisation. »

Grâce à Gabriel carron, j’ai fait la connaissance de Nestor Borri, qui préside un réseau de travailleurs sociaux, d’agents pastoraux et d’élus dans toute l’Argentine. Avec le temps, c’est devenu un ami. Il a eu une idée folle : parler du pape François sur internet dans un langage populaire, voire irrévérencieux, mais avec la foi chevillée au bon endroit. Si tu veux visiter le site, c’est www.factorfrancisco.org. Tu verras le pape et Maradona avec une auréole comme saint Symphorien de notre église.

Un jour, Nestor reçoit une lettre manuscrite du pape qui lui dit que le projet l’a fait éclater de rire. Et ce chenapan de Nestor est invité au Vatican pour une audience privée. Je lui ai dit d’apporter un Cabernet Sauvignon de Cafayate pour faire avancer le dossier Gabriel Carron. Dès qu’il y a du nouveau, je te le fais savoir.

Meilleures salutations.

Gabriel Bender

 

Alexandre Cartron (au centre), bien entouré, lors de la réception en Valais des Valaisans du monde en 1991
Le père Gabriel Carron prenant le maté en Argentine

 

Joyeux Noël et meilleurs voeux pour 2020!

Joyeux Noël et meilleurs voeux pour 2020!

 

En cette fin d’année où un beau manteau de neige immaculée recouvre nos montagnes et nos villages d’altitude, il est bon de ralentir et de laisser nos pensées vagabonder au-delà des frontières et des océans… Noël, Nouvel An, l’Epiphanie… autant de fêtes qui rassemblent les êtres qui s’aiment et se retrouvent par le coeur. C’est l’occasion pour nous les membres du comité de Valaisans du Monde (Walliser in aller Welt) de vous redire notre amitié, à vous nos amis et nos cousins des cinq continents, et de vous souhaiter amour, douceur et paix, de même qu’une une année 2020 riche de partage, de fraternité et de rencontres.

Le comité de Valaisans du Monde

 

Août 2019 : visite en Valais de 22 étudiants d’Esperanza avec leurs accompagnants et le président d’EVA Hugo Donnet

Août 2019 : visite en Valais de 22 étudiants d’Esperanza avec leurs accompagnants et le président d’EVA Hugo Donnet

 

Du 15 au 27 août 2019, 22 étudiants du collège de San José (Esperanza) accompagnés de 6 responables et du président des associations valaisannes d’Argentine Hugo Donnet, ont visité la Suisse et en particulier le Valais où ils ont été accueillis par Valaisans du Monde. Leur programme chez nous ? Logement aux Collons, visite de la Grande Dixence et des villages typiques, de la capitale, rencontres avec les responsables des 6 communes jumelées avec Esperanza (Vex, Hérémence, Saint-Martin, Riddes, Trient et Champéry), découvertes des moeurs et traditions du Vieux-Pays… Ce fut un vrai bonheur de partager ces quelques jours avec ce groupe dont la jeunesse et l’énergie ont été communicatifs.

Christophe Carron

 

A Sion, dans la Grand Rue : le groupe des étudiants argentins avec leurs accompagnants, le comité de Valaisans du Monde et le président des associations valaisannes d’Argentine.
Réunion du comité de Valaisans du Monde et apéritif sur la terrasse de l’appartement d’Eric Rudaz (Hugo Donnet, tee shirt rouge, debout à gauche).
Le conseiller communal de Sion Raphaël Marclay, son amie et quelques accompagnants du groupe d’Esperanza à la salle Supersaxo.
Le président de Valaisans du Monde Eric Rudaz (2e à gauche) et des visiteurs argentins affrontent le soleil sédunois à la rue de Conthey…
Accueil et repas à la salle Supersaxo à Sion.
Emigration valaisanne en Argentine : quelques livres récents déposés à la Médiathèque Valais à Sion

Emigration valaisanne en Argentine : quelques livres récents déposés à la Médiathèque Valais à Sion

Durant le mois d’août 2019, Valaisans du Monde a eu le plaisir d’accueillir en Valais le président des associations valaisannes d’Argentine Hugo Donnet et le père Bernardo Blanchoud d’Humboldt. Ils ont apporté divers livres récemment publiés en Argentine, pour que nous les remettions à la Médiathèque Valais à Sion. Ces livres seront placés dans les rayons du Centre de documentation sur l’émigration valaisanne. Ils concernent essentiellement l’histoire des familles qui ont fondé et peuplé, au XIXe siècle, la première colonie agricole d’Argentine Esperanza, jumelée aujourd’hui avec les 6 communes valaisannes d’Hérémence, Vex, Saint-martin, Riddes, Trient et Champéry. Ce sont des ouvrages précieux, écrits par des descendants d’émigrés désireux de rendre hommage aux pionniers et à leurs descendants, afin que les générations présentes et à venir n’oublient jamais quelles sont leurs racines, et mesurent à sa juste valeur le travail de colonisation remarquable réalisé par leurs prédécesseurs.

Christophe Carron

« No Hay Rosas Sin Espinas », 2016
(« Il n’y a pas de roses sans épines »)
de Miguel A. Donnet, avec la collaboration de Hugo R. Donnet

C’est l’histoire romancée de la famille de Cipriano Nicola Donnet et Maria Sofia Rouiller, partie de Troistorrents en 1859 pour s’établir à Esperanza, première colonie agricole d’Argentine, et de ses nombreux descendants installés par la suite au nord de Santa Fe, dans les provinces septentrionales du Chaco et de Formosa, puis sur tout le territoire national.

 

« Los Heinzen en la Colonia de Esperanza – Silenciosa familia valesana », 2018
(« Les Heinzen à la colonie Esperanza en Argentine »)
de Fernando Alcides Heinzen

L’essentiel de ce livre concerne les recherches pour établir l’arbre généalogique de la famille haut-valaisanne Heinzen installée à la colonie Esperanza et dans la province de Santa Fe. Son auteur Fernando Alcides Heinzen écrit dans sa dédicace à la Médiathèque cantonale de Sion : « Ce livre est un hommage à ceux qui ont quitté leur patrie suisse, mais aussi un geste de gratitude envers ceux qui ont travaillé et fondé la colonie Esperanza en Argentine. Avec mon estime pour tous ceux qui oeuvrent à la Médiathèque Valais, en particulier au Centre de documentation sur l’émigration valaisanne. Juin 2019 »

 

« Entidades Valesanas Argentinas – 1993-2003 : 10 anos de encuentros y emociones, 2013
(« Les Entités valaisannes d’Argentine – 1993-2003 : 10 années de rencontres et d’émotions ») de Carlos E. Pralong

L’auteur Carlos E. Pralong est un descendant direct d’Antoine Pralong, un des fondateurs le 2 juillet 1859 de la colonie San José (province d’Entre Rios). Professeur et auteur de livres et de traductions en rapport avec l’émigration valaisanne (il est avec Sandra Gaillard l’un des deux traducteurs en espagnol du livre « Nos cousins d’Amérique »), Carlos Pralong figure parmi les initiateurs et les animateurs de l’association EVA qui regroupe toutes les organisations valaisannes d’Argentine. Dans ce livre, il retrace la genèse et les premières années de cette association, qui aujourd’hui encore stimule les activités « valaisannes » de ses membres, les rencontres, les échanges avec le Vieux-Pays, et dont le rayonnement touche le pays tout entier

 

« Primeras colonias de predominio suizo en Argentina 1856-1858 – Su incidencia en el desarrollo del pais », 2013
(« Premières colonies de prédominance suisse en Argentine 1856-1858 – Leur importance dans le développement du pays »)
de Maria del Carmen Jullier et Hugo René Donnet

Paru en 2013 sous l’égide d’EVA (Entidades Valesanas Argentinas), ce livre de Maria del Carmen Jullier et Hugo René Donnet évoque de manière simple et didactique la création et les débuts de 5 des premières colonies fondées majoritairement par des immigrants valaisans, de 1856 à 1858 : Esperanza, Baradero, San José, San Jeronimo Norte et San Carlos Centro.

Un nouveau livre sur l’émigration des Valaisans aux XIXe siècle

Un nouveau livre sur l’émigration des Valaisans aux XIXe siècle

Maurice Carron de Bagnes, membre de Valaisans du Monde et ami du Musée historique de San José depuis de longues années, est un passionné de tout ce qui touche à l’émigration valaisanne en Argentine où il vit l’essentiel de son temps. Après de longues et minutieuses recherches, il publie aujourd’hui une œuvre majeure : « Valaisans émigrés au XIXe siècle ». Ce livre traite des flux migratoires du Valais en Amérique. Il est le résultat de patientes investigations pour répertorier les noms des immigrants, leurs communes d’origine, leurs professions, le nom de leurs parents, et leurs lieux d’implantation non seulement en Argentine, mais aussi au Brésil et aux Etats-Unis.

C’est pour le Musée de San José, l’un des plus importants en Argentine sur l’immigration des Valaisans, un apport considérable et un réel plaisir de pouvoir désormais compter sur une nouvelle œuvre évoquant nos nombreux compatriotes qui ont fondé la colonie San José en 1857 et qui ont, par des implantations successives, contribué au développement de cette région de l’Entre Rios.

Valesanos emigrados en el siglo XIX

Maurice Carrón, de origen valesano de Bagnes y amigo del Museo desde hace muchos años, es un asiduo investigador de la inmigración valesana a nuestro país.
Esta nueva obra « Valaisans émigrés au XIXe siècle » es un compendio completo y minucioso de las diferentes corrientes migratorias del Valais a América. Se trata de una investigación completa donde se detallan los nombres de los inmigrantes, comuna de origen, profesión, nombre de los padres, localidad de asentamiento no solo de nuestro país, también de EEUU y Brasil.


Es realmente un placer contar con otra obra de investigación para así poder rastrear los orígenes valesanos de las familias llegadas, en este caso, a San José.
El libro está a disposición para ser adquirido en el Museo.